La SFAF a accueilli de nouveaux adhérents au cours du dernier trimestre.
• Cédric Adens, associé chez KPMG
• Sarah Bagnon-Szkoda, associée chez KPMG
• Valérie Besson, associée chez KPMG
• William Bitan, consultant chez WHB Conseil
• Sonia Bonnet-Bernard, associée gérante Ricol Lasteyrie Corporate Finance, membre du réseau EY
• Bertrand Casalis, gérant chez Cogefi
• Karine Dupré, associée chez KPMG
• Edwin Faure, Gérant d'OPCVM / Fund Manager chez Raymond James Asset Management international
• Fabien Flavenot, gérant chez Société Générale Private Banking
• Jérémy Gaudichon, gérant chez Métropole Gestion
• Gabriel Gondard, responsable de la stratégie et développement produits, Alliance Bernstein
• Philippe Gouin, directeur Centre d'Affaires Entreprises à la Banque Postale
• Marie Guillemot, associée chez KPMG
• Cyrille Hareux, fondateur associé de Company Vauban Thailand
• Gustavo Horenstein, gérant de fonds chez Dorval Asset management
• Véronique Leclercq, gérante risque crédit chez EBI SA groupe Ecobank
• Olivier Le Maire, associé chez EY Corporate Finance
• Bertrand Lemattre, gérant actions chez Jean de Demandolx Gestion
• Jean-Pierre Loza, Managing Director - Equity Research and Investor Relations chez Aurgalys
• Francine Morelli, associée chez KPMG
• Fabrice Odent, associé chez KPMG
• Catherine Porta, associée chez KPMG
• Eric Ropert, associé chez KPMG
• Julien Texier, gérant sous mandat à la Banque Populaire Rives de Paris
• Jean-Pierre Valensi, associé chez KPMG
Gestion active, gestion passive : une réunion active
L'adhésion à la SFAF offre de nombreux avantages (annuaire électronique, espace carrière…) et la possibilité d'assister à des événements, parmi lesquels les alumnis mensuels.
L'alumni organisé le 15 novembre 2017 sur le thème « Gestion active - gestion passive » a réuni trois spécialistes de la gestion indicielle : Laurent Trottier, responsable de la gestion ETF, indexation et Smart Beta chez Amundi, Gilles Bazy-Sire, conseil en investissements financiers, co-fondateur de Equity GPS, qui propose un système-expert rationnel réévaluant, chaque jour, la valorisation et la dynamique des perspectives financières - fondements du potentiel de performance boursière à moyen terme - de près de 6 000 valeurs, et Mahjoub Faraj, ingénieur spécialiste de Eikon, un ensemble de logiciels fournis par Thomson Reuters aux professionnels de la finance pour surveiller et analyser l'information financière.
Le marché de la gestion d'actifs pèse plus de 70 000 milliards de USD avec une part de gestion indicielle qui ne cesse de croître et dépasse déjà les 15 % de l'ensemble.
Cette gestion est très souvent appelée gestion passive parce qu'elle essaye de répliquer les indices pour les surperformer. Or, c'est négliger un aspect majeur : l'aspect comportemental. La question est alors de connaître le momentum, chose difficile à appréhender. Autre difficulté : la construction de son indice, son évolution dans le temps et gérer les corrélations entre valeurs.
Alors que la gestion dite active porte sur la sélection de valeurs, la gestion passive consiste donc à construire un portefeuille à partir d'indices qui ne sont plus liés à la capitalisation et qui tiennent compte des risques. En ce sens, le gérant, la construction et le suivi d'un indice doivent être choisis avec autant de soins que l'on choisit un gérant dans le cas d'une gestion active.
La gestion passive suit aussi les tendances de marché comme la demande des investisseurs liée aux critères ESG. C'est ainsi, par exemple, que tous les fonds Amundi appliquent les critères ESG, le risque carbone ou climatique, les listes d'exclusion charbon, tabac et autres, le vote aux assemblées.
La capacité de répondre aux exigences du client conduit tous les gérants à prendre en compte cette problématique.
Alumni « Gestion active - gestion passive » dans la salle du Conseil de Thomson Reuters le 15 novembre 2017