La communauté CIIA / SFAF commence l'année sur une note festive ! Le mercredi 17 janvier en fin d'après-midi, se sont réunis une vingtaine de jeunes diplômés du CIIA pour leur premier Afterwork de l'année. Nées d'une initiative personnelle, ces rencontres sont l'occasion, pour l'équipe de la SFAF invitée à cette réunion, de faire un « micro-comptoir » et de prendre le pouls des attentes et aspirations de la communauté CIIA.
Réunis autour d'un verre et d'une planche gourmande, 5 diplômés récents du CIIA (Certified International Investment Analyst) répondent aux questions de l'équipe de la SFAF, représentée entre autres, par Sabine Topol, Directrice du centre de formation, et Thierry Giami, Président de l'association.
Maximilien, Associate Director – Cash Management FI chez Natixis, organise les Afterworks. Mais quel est son objectif ? Sans hésiter, il nous répond : « Garder des contacts et faire vivre un réseau ». L'idée est de permettre aussi aux différentes promotions de se rencontrer et d'échanger, mais aussi de dialoguer avec les représentants de la SFAF. « Faisons réseau !», à l'instar de Thierry Giami, les autres participants approuvent… Entretenir ses contacts et étendre son réseau, partager des informations et échanger sur l'actualité de chacun et du secteur en toute convivialité, tels sont les objectifs des participants.
Interrogés sur leurs attentes vis-à-vis de la communauté CIIA, et plus largement vis-à-vis de la SFAF, un double consensus se dessine. Pour Emilie, responsable de gestion de portefeuilles – Fonds Propres chez CNP Assurances, et pour Stéphane, Senior Manager chez BM&A, ils attendent de la SFAF « d'être un espace d'échange et de veille permettant de rester à niveau sur les compétences acquises dans le cadre du CIIA » et qu‘elle « participe à l'entretien de nos connaissances, c'est-à-dire nous informer sur des évolutions de réglementation, communiquer sur les grands débats qui animent notre secteur… ». Par ailleurs, pour Valérie et Xavier, gérant Analyste – Multigestion chez Groupama AM, conscients de la richesse des profils qui se retrouvent parmi les membres, ils attendent que la « SFAF soit active » dans son écosystème et, en particulier, qu'elle y « représente véritablement sa base, dont ses diplômés ».
A la question « quel message feriez-vous passer à un futur candidat au CIIA ? », la réponse est aussi unanime : il faut avoir à l'esprit que réussir le CIIA nécessite un « important investissement personnel ». Emilie et Stéphane expliquent que le CIIA permet d'acquérir « une culture générale financière » et « un ensemble de compétences théoriques et opérationnelles facilement exploitables dans toute carrière ».
En se projetant au-delà du CIIA, nous demandons à nos diplômés de citer deux sujets sur lesquels ils estiment que la SFAF devrait prendre position. Les réponses sont variées. Pour Valérie, « tout ce qui touche à l'analyse macroéconomique est intéressant et toujours utile ». Pour Xavier, c'est l'évolution technologique et « l'impact du Big Data sur l'analyse financière ». Emilie aimerait que la SFAF émette un avis sur le sujet des « crypto monnaies » ou sur « la crédibilité des agences de notation moins connues ». Et pour Stéphane, il s'agit de sujets techniques comme « sujet du coût capital/taux d'actualisation » ou celui de « l'impact du levier d'endettement sur la valeur ».
Tous s'accordent à dire que la force et l'intérêt de la SFAF résident dans son indépendance lorsqu'elle émet des avis sur ces sujets très variés.