La dérive des comptes publics est extrêmement inquiétante. Dans un contexte non récessif, le déficit dépasserait 6% du PIB en 2024 et aurait atteint 7% en 2025 sans les mesures correctives prises par le gouvernement Barnier.
L'interprétation d'Eric Galiègue : Cette situation grave reflète avant tout un appareil productif public totalement ingérable et hors de contrôle. La conséquence pour les marchés financiers est que la croissance économique va rester insuffisante dans les prochaines années, probablement incapable de progresser au-delà de 1%. Ce sont, en tout cas, les hypothèses du consensus des économistes jusque 2026.